Constellation Couronne australe: Caractéristiques, étoiles principales, mythologie
Les constellations tirent leurs origines plus particulières dans la mythologie. Elles ne possèdent aucun élément physique spécifique, elles sont issus d’un simple assemblage d’Etoiles qui, observées depuis notre Terre, apparaissent proches sous certains angles.
La constellation de la Couronne australe est déjà sue d’Eudoxie de Cnide entre 408 et 355 avant J-C et aussi évoquée dans l’œuvre poétique intitulée « Les Phénomènes d’Aratos » de Soles entre 315 et 245 avant J-C. La constellation de la Couronne australe ne renferme pas d’objets particulièrement intéressants. Malgré le fait que les chinois identifièrent dans l’alignement de ses Etoiles une forme de tortue, son nom provient de l’analogie d’apparence avec la Couronne boréale située dans l’hémisphère nord. Toutefois, la Couronne australe regorge un ensemble d’aspects non moins importants que nous allons tenter de découvrir.
Les caractéristiques de la constellation de la Couronne australe
La couronne australe constitue une constellation pas très grande et qui se situe au niveau de l’hémisphère sud. Intégrée par Ptolémée dans son traité d’astronomie Almageste, le nom de la constellation de la Couronne austral est pendant également à celui d’une autre constellation appelée Couronne boréale. La disposition de ses Etoiles est fonction d’un arc-en-ciel rappelant également une autre couronne.
D’aucun dit qu’il s’agirait même de la Couronne du Sagittaire, pas très loin. La Couronne australe est certainement un diadème assez complexe ou simplement une guirlande avec ses feuilles.
La constellation de la Couronne austral est faible avec une magnitude apparente située entre 4 et 5. La forme de la constellation est beaucoup moins apparente que celle de la Couronne boréale, sa sœur. Pour repérer la Couronne australe, il faut partir de Scorpion, du côté Est de la queue, mais aussi de Sagittaire, du côté sud du cou Nunki. Egalement, la Contour australe est limité par la Voie Lactée.
Les auteurs les plus classiques surnomme cette constellation la Couronne du Centaure et ce, dû au fait que le Sagittaire lui-même constitue un centaure. On lui associe sept Etoiles distinctes. Elle est également appelée Alaclil al-Genubi par les astronomes arabes ou même Al-kubba (la tortue) du fait de la forme circulaire. Du côté des astronomes hébreux, la Couronne australe est surnommée Athora.
Les étoiles les plus importantes de la Couronne australe
Bien que la Couronne australe soit peu pourvue en objets distinguables, il contient bien quelques Etoiles principales. Parmi les Etoiles les plus importantes de la Couronne australe, il y’a l’Alfecca Meridiana ou α Coronae Australis. Le nom de cette Etoile est tiré de celui de l’Etoile phare de la Couronne boréale, à savoir Alphecca, une Etoile qui possède une magnitude 4,11. L’Etoile majeure de la Couronne australe appartient à la catégorie
A classique, des lors qu’elle effectue une rotation rapide sue elle-même sous une vitesse de 180 km/s au niveau de l’équateur. Autre Etoile principale, c’est le k Coronae Australis qui est une Etoile double possédant des composantes ayant 5,6 et 6,3 de magnitudes distantes de 21,4’’ visibles au moyen d’un petit télescope.
Parmi les autres Etoiles, on peut également citer le γ CrA, une Etoile binaire avec une magnitude de 4,23, une période orbitale de 120 ans et située a 58 a.l de nous. Le γ CrA contient donc deux Etoiles de 5e magnitude et de catégorie F8. On peut aussi le δ CrA, une géante orange de classe spectral K1 qui possède une magnitude de 4,57 et qui est séparé de la Terre par une distance de 175 a.l. Le a Coronae Australis, de la classe A1, est une Etoile de magnitude 4,1 et qui se trouve à 130 a.l de la Terre. La β CrA constitue une géante orange de classe K0 éloignée de la Terre à près de 500 a.l. Elle a une magnitude 4,11. Une Etoile à neutrons a été découverte en 1997 par Hubble, un télescope spatial, une Etoile vue dans le ciel au niveau de la Couronne australe.
La mythologie de la Constellation de la Couronne australe
Le secret de vie constitue le plus emblématique secret de tout l’univers et des temps. Il n’existe pas d’home encore moins de femme capable de percer ce mystère de la vie dans toute sa grandeur. Toutefois, l’humanité est au courant que, et ce depuis bien longtemps, c’est bien la plus élogieuse mère en tout temps, à savoir la déesse Dana qui représente la gardienne. De l’abysse de son corps altruiste et monstrueux, à la fois épouvantable et exaltant, étaient apparus les premiers dieux et ainsi de suite jusqu’aux mortels.
Dana, la déesse dite de la fertilité s’était alliée sur Terre avec l’Aubépine et se servait de la Couronne australe comme complément céleste, constituée de 7 Etoiles, symboles de la traversée entre deux univers. Représentant la première mère de la légende des dieux et des hommes, la Couronne australe est parfois l’individu le plus egocentrique et le plus cruel du monde. En plus de se croire tout connaitre, elle est persuadée de représenter le centre du monde, pour ainsi être considéré et vénérée.
Elle peut rapidement changer certains aspects banals de la vie en des mystères occultes grandioses, qui sont impossibles à accéder pour les humains. Pour elle, les autres sont des moins que rien. Il apparait véridique que la Couronne australe, quand il s’agit de projeter de la poudre d’Etoiles, est effectivement très douée, au vu et au su de ses semblables qui tombent souvent dans le piège du fait de leur naïveté et de leur manque de raisonnement.
Les autres objets des classes Messier et NGC de la Couronne australe
Le NGC 6541 constitue un amas globulaire qui se trouve au niveau de l’angle Sud-Ouest de cette constellation dite de la Couronne australe, pas loin de la base du Scorpion. Cet amas globulaire se situe à 23 000 années lumières de la Terre. Autre objet, c’est le NGC 6726-7 qui représente l’élément la plus lumineuse d’une large gamme de nébuleuses obscures et brillantes et de particules absorbantes au niveau de la constellation de la Couronne australe à près de 7,5 degrés au sud de z SGR. Cette nébuleuse a été identifiée par Schmidt en 1861.